Le bâtiment végétalisé cherche un second souffle

Pour donner un second souffle au marché qui stagne autour d’un million de mètres carrés depuis 2015, l’association française des toitures et façades végétales (Adivet) actionne le levier réglementaire. L’assemblée générale du 6 juin a tracé cette perspective, avec une conférence intitulée « Végétalisation du bâti et documents d’urbanisme ».

La crainte de l’insécurité juridique contribue à expliquer le piétinement du marché, à en croire l’écologue Marine Linglart : « Comme pour l’eau pluviale, il va falloir passer de l’incitation à l’obligation, pour aller de l’avant », estime la fondatrice du bureau d’études Urban-Eco.

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